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Témoignages et avis

Changer de job et de vie grâce à la formation assistante juridique

Publié le 13 septembre 2021 - Mis à jour le 14 novembre 2023

C’est malheureusement devenu un classique dans la carrière de nombreux actifs, le licenciement pour raison économique renvoie sur le marché de l’emploi des salariés désœuvrés en « quête de sens » dans leur prochain choix, décisif, de carrière. C’est ainsi que commence l’histoire d’Aurélie, que nous rencontrons aujourd’hui. Et là aussi, nous serons confrontés à un autre « classique » : celui de la reconversion qui permet non seulement de rebondir plus haut mais, en prime, avec le sourire !

Il y a 3 ans encore, vous auriez pu croiser Aurélie dans les rayons du grand magasin de bricolage au sein duquel elle endossait l’uniforme de Conseillère de ventes. À 33 ans, et un diplôme de commerce en poche, Aurélie s’était fait une place confortable après 9 années successives à ce poste. « Pas au niveau peut-être de ma licence en commerce, mais le job me plaisait, l’ambiance d’équipe était bonne, j’y trouvais mon compte », analyse-t-elle. Sauf que les difficultés économiques rencontrées par son magasin viendront sonner le glas de son CDI. Face à elle, trois options se présentent immédiatement : accepter une mutation dans un autre magasin de l’enseigne. Elle refuse ; se réorienter au sein de l’entreprise sur un autre profil de métier. On ne lui laisse entrevoir aucune perspective. Accepter son licenciement et bénéficier d’un congé de reclassement, avec l’accompagnement qui va de pair pour retrouver ensuite, le chemin de l’emploi. Elle finit par choisir la troisième option. Et bien lui en aura pris…

Changement de job, changement de vie

Ce changement, même si Aurélie n’en est pas vraiment à l’initiative, arrive finalement à un tournant de sa vie personnelle. Elle est enceinte de son deuxième enfant, le rythme « grande distribution » devient incompatible avec les exigences de la vie de famille… et, après tout, elle souhaite maintenant s’orienter vers une profession en phase avec ses aspirations, qui la guident vers les métiers du juridique. « Dans le cadre de ma licence de commerce, j’avais pu toucher du doigt au droit et ça m’avait plu », explique la jeune femme à la conseillère du cabinet de reclassement qui l’accompagne alors. Comme son choix semble réfléchi, le bilan de compétences est vite écarté au profit d’un exercice simple : entrer en contact avec des assistantes juridiques en poste pour s’assurer que la direction choisie est bien la bonne… L’intuition d’Aurélie ne l’aura pas trompée.

On ne repart pas de zéro, on progresse ! »

Aurélie a en effet au préalable effectué quelques recherches en ligne et déniché la fiche du programme de formation Assistant(e) juridique disponible sur le site web IFOCOP. Le contenu, comme les modalités et la durée de la formation (8 mois) la séduisent. Tout comme ce qu’elle entendra des différents entretiens qu’elle conduira avant de s’inscrire au centre le Paris XIII, le plus proche de chez elle.  Elle fera sa rentrée des classes et s’illustrera par sa motivation et sa polyvalence dès les premiers jours. « J’ai appris beaucoup de choses nouvelles, mais je disposais toutefois d’une bonne base, ce qui a simplifié mon apprentissage et permis d’aller jusqu’au bout sans trop de difficultés », raconte-t-elle, s’avouant particulièrement intéressée par le période d’immersion professionnelle qui conclut la diplomation.

« Le stage, c’est clairement l’atout du cursus IFOCOP. Grâce à lui, on rajoute immédiatement une ligne sur le CV. C’est séduisant pour nous, comme pour un futur patron », analyse Aurélie. Et son futur employeur, elle n’aura pas dû aller le chercher bien loin, puisqu’il s’agira de son entreprise d’accueil, un administrateur judiciaire, c’est-à-dire une structure qui s’occupe des entreprises en liquidation ou redressement judiciaire. C’est même allé très vite puisqu’elle enchaînera directement la fin de son stage et sa première journée d’employée en CDI. « Juste le temps de dire ouf », s’amuse-t-elle à commenter. Bilan positif pour Aurélie, donc et bel exemple pour ceux et celles qui, parmi vous, s’interrogent sur leur capacité individuelle à rebondir.

Ce qu’elle aime dans son nouveau métier d’Assistante juridique

> Gérer des dossiers de A à Z dans son domaine de prédilection : le droit.

> Recevoir et conseiller les chefs d’entreprises parfois désorientés.

> La transversalité de la fonction : traiter le courrier, les RDV, les dossiers…

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