Préjugé n°1 : « Un stagiaire adulte, ça coûte cher ! »
Comme avait coutume de le dire, en son temps, un certain Abraham Lincoln : « Si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance ». Si vous êtes convaincu, comme nombre d’entre nous, par cette maxime, pourquoi alors, vous priver d’éléments performants, sérieux et motivés comme les apprenants de l’IFOCOP ? D’autant que si l’intégration du candidat est maximisée par son expérience professionnelle préalable et sa plus grande maturité, le risque et le coût sont, eux, minimisés !
Saviez-vous par exemple que le stagiaire adulte IFOCOP ne rentre pas dans l’effectif de l’entreprise ? Qu’aucune rémunération n’est à prévoir pour lui pendant sa période de stage ? Il/elle est indemnis(é) par l’Etat, la Région ou Pôle Emploi et la seule participation demandée par l’IFOCOP à l’entreprise d’accueil sert à financer la période de cours de l’apprenant. Cette participation reste très inférieure à une embauche, à profil équivalent (entre 1300 €HT et 1700 €HT par mois).
Ajoutez à cela des contraintes administratives allégées – le stage est une prestation formalisée par une simple convention entre l’entreprise d’accueil et l’IFOCOP -… Et vous vous direz certainement qu’intégrer un stagiaire adulte avec l’IFOCOP représente en réalité un très bon investissement !
« Le stagiaire, c’est un coût, bien sûr… Mais un coût moindre au regard des bénéfices évidents. Surtout quand, comme ici, l’expérience est concluante »
>>> Retrouvez le témoignage d’Elisabeth Jegonday, Responsable des Ressources Humaines pour la société parisienne ADUNEO. L’an dernier, elle a choisi de renforcer ses effectifs comptables en recrutant Ameth Basse, 32 ans, d’abord en tant que stagiaire IFOCOP, ensuite en tant que Gestionnaire comptable à part entière.
Préjugé n°2 : « Les jeunes tout droit sortis de l’école sont bien plus efficaces »
Il est évident que les apprenants IFOCOP qui s’engagent, au prix de nombreux efforts, dans une démarche de formation et/ou de reconversion ne font preuve d’aucune curiosité, d’aucun sens de l’initiative, d’aucune capacité à apprendre et se développer… En plus, ils sont totalement incapables de prendre des risques ! Vous avez probablement raison, autant engager un jeune qui n’a jamais (ou quasiment jamais) mis un pied dans l’entreprise, ni assumé des responsabilités professionnelles plus longtemps que lors de ses stages…
Pour chasser nos vieux démons collectifs, on vous encourage à lire ce billet humoristique (mais non moins sérieux) rédigé par Céline Beckrich, ancienne apprenante IFOCOP, sur LinkedIn.
Vous y découvrirez le témoignage touchant d’une trentenaire en reconversion pour devenir Community Manager. Seule, face à une génération de « Digital natives », parviendra-t-elle à s’imposer à coup de #hashtags acidulés et d’@arobases bien ciblées ? Vous ouvrirez surtout les yeux sur les qualités évidentes des stagiaires plus expérimentés et sur l’intérêt pour votre entreprise de leur faire une place : des candidats qui capitalisent sur leur singularité (plutôt que de rentrer dans le moule et « faire comme tout le monde »), souvent plus humbles dans leur approche, plus aguerris aux aléas de la vie d’entreprise qui peuvent, aussi, enrichir leur nouveau métier avec les acquis de leurs expériences passées…
« L’apprenant adulte, grâce à son passé professionnel, est rapidement à l’aise et performant pendant son stage en entreprise. Il n’a donc pas besoin de long discours ou de formation onéreuse lors de sa prise de fonction. Le savoir-faire, développé au fil des années, permet de réduire sa période de formation », rappellent les équipes de l’IFOCOP, sans être contredites par les anciens apprenants, qui sont nombreux à témoigner sur le blog de l’IFOCOP.
>>> Sammy, diplômé de la formation Gestionnaire de Paie : « Passé un rapide temps d’ajustement, j’étais bien en phase avec les attentes et ma mission s’est élargie »
>>>> Rachel, diplômée de la formation Assistante de direction : « Mon responsable de stage était souvent en déplacement et me transmettait ses consignes à distance. Même seule, j’ai réalisé que j’étais tout à fait capable de gérer la situation. »
Préjugé n°3 : « En 4 mois, ils ne pourront jamais être opérationnels. Ce n’est pas leur métier initial ! »
Ce serait, déjà, ignorer une chose : les apprenants IFOCOP ne sont pas admis automatiquement sur la base d’une simple inscription. Ils doivent en effet candidater et présenter un projet professionnel construit, validé par des partenaires professionnels expérimentés : Pole Emploi, CEP (Conseil en Evolution Professionnelle), centre de bilan de compétences… Les équipes pédagogiques de l’IFOCOP vérifient aussi au préalable la maîtrise de certains prérequis propres à chaque formation. Il en va du taux de réussite des apprenants et de leur insertion professionnelle post formation.
Ensuite, avant la plongée en stage dans le monde de l’entreprise, les apprenants sont soumis à 4 mois d’enseignement intensif avec de nombreux travaux pratiques à réaliser en solo ou en équipe. Des conditions très proches de la vie en entreprise.
« Commencer par un recrutement en tant que stagiaire nous rassurait. Toute nouvelle embauche est un vrai challenge »
Et puis, si l’expérience n’est pas concluante, il n’y a aucun risque. On peut même voir le stage comme un « test ». « Commencer par un recrutement en tant que stagiaire nous rassurait. Toute nouvelle embauche est un vrai challenge », analyse Thomas Prévôt, Directeur associé et cogérant de l’agence web Youdemus.
Lui, recherchait un profil compétent en webdesign et intégration web. Il a recruté Stéphanie pour un stage de 4 mois dans le cadre de sa formation webdesigner à l’IFOCOP. « Rapidement, elle s’est fait sa place et est montée en compétence. Jusqu’à la fin de son stage, où son embauche s’est révélée évidente ». Il partage son expérience dans une interview à lire ici.
Le mot de la fin
On laissera le mot de la fin à Thomas Chardin, Fondateur et dirigeant de Parlons RH :
« J’ai eu l’occasion de recruter plusieurs personnes en reconversion qui ont suivi une formation à l’IFOCOP. […] Elles ont une richesse, une expérience professionnelle, qui même si elle n’a rien à voir de prime abord avec ce pour quoi elles postulent, peut être complémentaire de leur nouveau poste. Les personnes en reconversion démontrent de plus une vraie envie, une soif d’apprendre, et ne demandent que l’opportunité de le prouver. »
What else ?
CES ENTREPRISES ONT CHOISI D’EMBAUCHER LEUR ANCIEN STAGIAIRE ET NE REGRETTENT PAS LEUR CHOIX : LIRE LEURS TEMOIGNAGES